Come to the NAC’s Atrium, for a mixed program about Love, Loss, and Exile, including a piece by the same name, with poetry by Afghani women composed by composer Juhi Bansal.
We don’t often think of poetry as rebellion, but the women of Afghanistan have built a tradition out of artistic defiance by speaking in rhyme words forbidden in prose. In the Pashtun culture from the mountainous regions near Pakistan, girls and women share, compose, and speak landays – an oral tradition of short poems by and for women, passed down for generations from woman to woman and tribe to tribe. The anonymous nature of these poems allows them to speak the unspeakable; they give voice to sensual love and desire, of yearning to make choices, and of girls wanting to be more than an adjunct to their fathers, brothers and husbands.
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Venez à l’Atrium du CNA pour un programme varié sur l’amour, la perte et l’exil, incluant une pièce du même nom, avec des poèmes de femmes afghanes composés par la compositrice Juhi Bansal.
On ne pense pas souvent à la poésie comme à une rébellion, mais les femmes d’Afghanistan ont bâti une tradition de défi artistique en prononçant en rimes des mots interdits en prose. Dans la culture pachtoune des régions montagneuses proches du Pakistan, les filles et les femmes partagent, composent et disent des landays – une tradition orale de courts poèmes par et pour les femmes, transmis de génération en génération de femme à femme et de tribu à tribu. La nature anonyme de ces poèmes leur permet de dire l’indicible ; ils donnent une voix à l’amour sensuel et au désir, à l’aspiration à faire des choix, et aux filles qui veulent être plus qu’un auxiliaire de leurs pères, frères et maris.